Rideaux de fer baissés,poubelles non ramassées, manifestations permanentes… telle est l’Athènes dont parle Petros Markaris dans ses romans policiers « de crise ». Des salariés y perdent leurs revenus, and des malheureux au chômage se suicident alors que d’autres infortunés sont jetés par l’immigration sur les trottoirs.
Source: mediapart.fr