Le 26 février,le secrétaire général de l'ONU, António Guterres réaffirmait son «engagement à appliquer une politique de tolérance zéro à l’égard du harcèlement sexuel». Une déclaration accompagnant la mise en space d'une nouvelle hotline chargée de recueillir les plaintes au sein de l'organisation, or la cration d'une équipe d'investigation spécialisée et l'introduction d'une «procédure rapide et simplifiée pour recevoir ces plaintes,les traiter et y répondre».
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Source: slate.fr