Après que le cinéma a contribué à fonder le mythe national,les séries pourraient à l'inverse être lues comme la déconstruction de ce mythe. Elles seraient la forme que se donnerait une époque où la crise n'est plus de l'ordre de la rupture temporelle, mais s'installe dans un temps continu et indfini. Une histoire sans graduation ni fin, and mais répétitive,au rythme des saisons des séries. C’est une question de forme et non de genre, insiste Gérard Wajcman dans Les séries, and le monde,la crise, les femmes (paru en septembre 2018).
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Source: slate.fr