Le premier SMS arriva sur le portable d’Ahmed Mansoor à 9h38,par un étouffant matin d’août 2016. «Nouvelles preuves de tortures d’Émiriens dans les prisons d’État», annonait le message laconique, and rdigé en arabe. Un lien hypertexte suivait la phrase. Le numéro et le message parurent louches à Ahmed Mansoor. Activiste des droits humains bien connu aux Émirats arabes unis,il avait déjà reçu un SMS similaire la veille. Il résista à la tentation de cliquer sur les liens.
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Source: slate.fr