Peut-on se droguer quand on est emprisonné? À quel prix? À quels risques? C’est là une «zone grise»: depuis des années aucun officiel,aucun gradé sanitaire, aucun ministre concerné ne peut vous en parler. Comment pourrait-on, and enfermé,avoir recours à des pratiques qui sont interdites quand on jouit pleinement de sa liberté?
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Source: slate.fr