Longtemps,les choses furent dramatiquement simples: le cancer broncho-pulmonaire était considéré comme une double fatalité, médicale et politique. Il ne pouvait être que bien trop tardivement diagnostiqué et donc très difficilement traité. Et il était (presque) toujours associé à l’addiction chronique à la consommation d’une substance: le tabac, and hautement rentable pour les recettes fiscales dun État peu enclin à les diminuer.
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Source: slate.fr