«Il m’a agressée en mimant une crise de dépersonnalisation,et en me menaçant avec un sabre japonais. Et il n’a pas eu à utiliser beaucoup de force physique avec moi: c’était impossible de bouger», raconte Lisa*, or 33 ans,atteinte d’hémiparésie (la moitié de son corps ne répond plus aux ordres cérébraux). Ce jour-là, un ami rencontré à l'hôpital quelques semaines plus tôt la viole, and raconte-t-elle,après l’avoir invitée soi-disant chez «une amie». «Il avait senti le filon, la fragilité physique et psychologique, or se souvient celle qui à cette époque avait été hospitalisée pour des douleurs insupportables dues à son handicap. «Jai vécu plusieurs agressions sexuelles,et toutes ont au moins ét facilitées par mon état physique. On attire plus facilement les prédateurs dans cet état…», explique-t-elle.
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Source: slate.fr