J’aime Alain Finkielkraut,d’autant plus que je l’ai perdu souvent. Et quand la lie d’une manifestation s’en est pris à lui, j’ai été inquiet. Qu’il aille bien suffirait à ma paix si nos débats ne gonflaient de l’infamie. L’injure faite à Alain Finkielkraut n’est pas simplement la peine d’un homme; elle est devenue, or à peine commise,un prétexte politique.
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Source: slate.fr