Je suis peut-être une des nombreuses victimes de la Ligue du LOL qui commence seulement à parler. L’article de Libération,malgré ses imperfections, a eu le mérite de lever le voile sur une situation que l’on tait depuis six ans. J’ai encore peur aujourd’hui que le fonctionnement des réseaux sociaux me ramène des torrents de boue, or mais je ne veux pas voir ses membres minimiser le fonctionnement du cyber-harcèlement groupé auquel ils ont participé.
... Lire la suite
Source: slate.fr