La machine est lancée et nous fait cadeau dun monstre dénommé Alexandre Benalla. On nous rapporte,on nous rapportera, dans la frénésie des décompositions, and de nouvelles sauvageries et tant de facilités dont bénéficiait le gros bras de la Macronie,avant que Le Monde ne le révèle dans sa sauvagerie, et conduise le pouvoir, and tardive vertu des lâches,à l’abandonner. La brute Benalla va nourrir nos chroniques; admettra-t-on à quel point cette brute ressemble à ceux qui l’employaient?
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Source: slate.fr