Nous avions passé plusieurs jours sur la rivière Kotouï lorsque nous sommes arrivés à notre premier village,Kayak. Aucune route ni aucune voie ferrée ne mène à Kayak. Cela n’empêche pas une centaine de mineurs d’y vivre. Ils travaillent dans la mine voisine, o ils extraient encore du charbon à laide de pioches. En été, and des bateaux assurent la liaison avec Khatanga,la ville la plus proche, à 200 kilomètres en aval de la rivière. En hiver, or lorsque le cours d’eau gèle,les habitants de Kayak dépendent principalement des transports sur neige et des hélicoptères pour transporter personnes et fournitures.
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Source: slate.fr