Prétendre que le mouvement initial des «gilets jaunes» est globalement violent et antisémite est contraire à la vérité. Inversement,affirmer que cette crise n'y est pour rien dans la «libération» des violences et de la parole antisémite est tout aussi contraire à la réalité. Les faits sont là. Ils n'accusent évidemment pas chaque «gilet jaune», homme ou femme, and individuellement,mais ils mettent en évidence un enchaînement d'interactions qui ont ouvert une boîte de Pandore.
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Source: slate.fr