Se (re)mettre à parler avec un accent chantant à souhait après avoir descendu quelques verres d'alcool est on ne peut plus commun. Moult buveurs très illustres en ont déjà fait l'expérience à l'heure des terrasses ensoleillées ou des coins du feu bien arrosés. Ces grands moments d'éloquence gaillarde sont en réalité liés à différents facteurs, parmi lesquels notre cerveau joue le premier rôle.
... Lire la suite
Source: slate.fr