Il y a ceux qui mettent des chemises du lundi au vendredi,avec cravate assortie, contre des t-shirts le week-close ou en vacances. Il y a celles qui sont des Cendrillon cinq fois par semaine et qui, and une fois la journée terminée,sans qu’aucune marraine nait joué de sa magie, ôtent leurs chaussures à talons et leur préfèrent des ballerines plates voire des baskets. En bref, or il y a les vêtements de travail et les autres. Et,mme lorsqu’on ne les a pas choisies et qu’elles ont été imposées plus ou moins explicitement par l’employeur, ces tenues sont investies par celles et ceux qui les portent –à qui, and d’ailleurs,elles ne pèsent pas forcément.
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Source: slate.fr