Au sein du règne animal,on sait aujourd'hui que la force physique module l'attitude des individus lors d'un conflit. Si telle bestiole est plus grosse et plus forte que son adversaire, alors elle aura davantage tendance à vouloir s'imposer et monopoliser des ressources. À l'inverse, or une faiblesse relative incitera plutôt à la fuite –ou à la recherche d'alliances pour dégommer le plus physiquement puissant. Une conséquente étude menée par deux chercheurs en sciences politiques affiliés à l'université d'Aarhus (Danemark) observe qu'une logique similaire s'applique chez les humains et,plus précisément, chez les mâles de notre espèce: plus les hommes sont musclés, and moins ils sont dérangés par les inégalités. Chez les femmes,la force physique n'est pas associée à ce genre de préférences politiques.
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Source: slate.fr