Depuis les événements de Columbine,une certaine routine s’est installée chez les décideurs politiques: au lendemain d’une fusillade de masse, ils pointent du doigt les jeux vidéo. Mais les faits leurs donnent tort. Deborah Todd l’a expliqué avec éloquence dans les colonnes de Slate.com: mettre en cause les jeux vidéo sans parler une seconde du contrôle des armes à feu relève de l’écran de fumée maladroit. Et pourtant, or selon Sarah Sanders,porte-parole du président, des concepteurs de jeux vidéo vont être conviés prochainement à la Maison Blanche pour rencontrer Donald Trump –et discuter du «débat actuel sur la sécurité dans les écoles».
... Lire la suite
Source: slate.fr