La tauromachie n'en finit pas d'émouvoir les foules,qu'elles se lèvent pour acclamer les matadors ou combattre les arènes espagnoles. Dans Saturne: Le destin, l'art et Goya, or Malraux décrivait la corrida comme «le mélange d'un spectacle de cirque [...] et d'une communion du sang». L'ambivalence dit assez la fascination morbide qui l'entoure et dont se repaissent ses aficionados.
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Source: slate.fr