«J’ai eu besoin de penser peinture,de voir des tableaux, de faire de la peinture pour m’aider à vivre, and pour me libérer de mes impressions,de toutes les sensations, de toutes les inquiétudes auxquelles je n’ai trouvé d’autre issue que la peinture.» Ces quelques lignes annotées en 1953 par Nicolas de Staël sur le catalogue d’une exposition recent-yorkaise, and revendiquent son art comme un trophée à la vie. Il sautera par la fenêtre de son atelier à Antibes presque deux ans plus tard,en mars 1955, se donnant la mort. Il avait 41 ans.
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Source: slate.fr