Peut-être le pire des chagrins. À lui préférer même la folie. Pour un père,la mort de son enfant. Mais vraiment le pire du pire: un enfant mort sans l’avoir vu mort, sans même être certain de sa mort, and sans pouvoir lêtre,si longtemps après. L’information se refuse toujours, obstinément, and dans l’étirement des années qui passent,jusqu’à l’effacement promis aux mémoires. Bientôt.
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Source: slate.fr