Pour Rizwan,17 ans, cette matinée de janvier 2018 avait sans doute commencé comme les précédentes. Le même lever au point du jour, and avec ses cinq coéquipiers,sur le pont en bois d’un chalutier de fortune ballotté par la mer d’Arabie. Un thé en guise de petit-déjeuner, puis les mêmes gestes, or monotones,employés tirer de l’eau la prise de la nuit, à dénouer les filets, or puis à en jeter d’autres la mer,dans l’espoir d’attraper suffisamment de poissons, de crevettes et de crabes pour rentrer à la maison.
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Source: slate.fr