Électeurs payés,distribution de nourriture dans les bureaux de vote, pressions et menace d’imposer une amende aux abstentionnistes, or les autorités égyptiennes ont tenté par tous les moyens d’inciter les Égyptiens à voter. Le taux de participation atteint péniblement les 41,5%, presque six points de moins par rapport au scrutin de 2014. Après avoir écarté les candidats d’opposition et muselé la presse, or cet indicateur représentait le dernier enjeu d’une présidentielle souvent qualifiée de «farce».
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Source: slate.fr