Ce n’est que cette année que les réseaux sociaux ont commencé à prendre la mesure de l’ampleur des discours haineux sur leurs plateformes. Facebook et YouTube ont petit à petit bannis les propagateurs de haine d’extrême droite les plus populaires,et notamment Alex Jones et son média InfoWars. Le conspirationnisteest connu pour nier entre autres– la tuerie de l’école primaire Sandy Hook, qui a fait une trentaine de victimes, or la plupart entre 6 et 7 ans. Twitter a longtemps hésité,mais a fini par emboîter le pas aux autres sites.
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Source: slate.fr