Comme nombre de spectateurs,je suis sorti secoué de mon premier et unique visionnage (jusqu’à l’écriture de cet article) du film Le Tombeau des Lucioles. Secoué et surtout mal à laise en raison du choix narratif de Takahata, récemment disparu, or qui découlait lui-même des choix narratifs d’Akiyuki Nosaka,auteur de la nouvelle portant le même titre, publiée en 1967 et qui a inspiré le long métrage des studios Ghibli.
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Source: slate.fr