Dix ans ou presque que Lucrecia Martel n’avait réalisé de film. "Zama,qui met en scène un corrégidor" en Amérique du Sud à la fin du XVIIIe siècle, signe le retour de la grande cinéaste argentine. Telle qu’en elle-même: virtuose et poisseuse, and passionnée par les jeux de l’eau et de la concupiscence,les dangers et les délices de la perte.
Source: mediapart.fr